Quand le COVID secoue la communication interne
Avec trois sites d’hospitalisation et 550 lits, les Hôpitaux Iris Sud, situés à Bruxelles, étaient aux premières loges de la crise Covid. Delphine Jarosinski, alors responsable communication dans cet établissement hospitalier, raconte l’avant et l’après Covid à partir de son expérience de communicante.
Propos recueillis par Isabelle Barros.
Quel est votre parcours de communicante ?
Delphine Jarosinski : Après des études en langues romanes, j’ai travaillé pendant une dizaine d’années dans différents cabinets ministériels, et j’ai notamment été l’attachée de presse de la ministre de la Santé au niveau régional. Chaque vendredi, nous visitions une maison de repos et un hôpital. C’est là que j’ai pris goût au secteur hospitalier, qui me fascinait dans sa complexité et sa diversité. J’y évolue maintenant depuis onze ans. J’ai intégré les Hôpitaux Iris Sud juste avant le Covid en tant que responsable communication et, aujourd’hui, je suis responsable communication au CHU Brugmann, un autre hôpital public, situé également à Bruxelles.
Comment travailliez-vous...